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Ce blog regroupe des articles sur les Afro Antillais, qui font l'actualités dans le monde.
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28.03.2007
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Victor Sévère

Publié le 17/08/2007 à 12:00 par feobus
Victor Sévère (né le 1er novembre 1867 à Case-Pilote en Martinique, mort le 24 octobre 1957) est un homme politique martiniquais et ancien maire de Fort-de-France.

Brillant élève, Victor Sévère poursuit ses études secondaires au Lycée de Saint-Pierre où il obtient son baccalauréat. Puis, il entame des études de Droit en France. Après avoir terminé ses études supérieures, titulaire de la licence, il s'inscrit comme avocat au barreau de Cayenne. En Guyane, il est élu Conseiller général de 1893 à 1896. Ensuite, il retourne définitivement en Martinique son île d'origine et s'inscrit au barreau de Fort de France.

Au début de l'Occupation, alors que la Martinique est administrée par l'Amiral Robert, Victor Sévère s'oppose farouchement à ce dernier et au Régime de Vichy. En 1941, il est écarté de la mairie de la capitale et l'Amiral Robert nomme à sa place Jean de Laguarigue. Son appartenance à la Franc-maçonnerie n'est pas étrangère à cette mesure. En 1942 il participe à la Résistance et se fait particulièrement remarquer après le débarquement en Afrique du Nord. En 1945, il contribue à la formation du Comité de libération nationale qui assure le ralliement des Antilles aux Forces françaises libres.

En 1945, il ne brigue pas un dernier mandat à la mairie de Fort de France et à 78 ans se retire de la vie politique. Il s'installe pendant quelques années dans son domaine de Choiseul à Case-Pilote. Victor Sévère meurt le 24 octobre 1957 à l'âge de 90 ans et est inhumé dans le cimetière de Case-Pilote

Henri Lémery

Publié le 17/08/2007 à 12:00 par feobus
Henri Lémery ( Né le 9 décembre 1874 à Saint-Pierre en Martinique ) est un homme politique martiniquais de la première moitié du 20e siècle. Il est aussi le premier martiniquais membre d'un gouvernement en France.

Henri Lémery entame des études supérieures au lycée Louis-le-Grand à Paris, après il poursuit des études de Droit. En 1902, il s'inscrit au barreau et devient Avocat. Un drame marque cette période : il perd toute sa famille au cours de la catastrophe de Saint-Pierre (l'éruption de la Montagne Pelée).

Il est élu Député de la Martinique de 1914 à 1919.

En France métropolitaine, du 16 novembre 1917 à janvier 1920, Henri Lémery est nommé successivement Sous-Secrétaire d'État au Commerce, à l'Industrie, aux Postes et Télégraphes, aux Transports Maritimes et à la Marine Marchande au sein du Gouvernement de Georges Clemenceau. Il est au début du siècle le premier originaire de l'Outre-mer à être nommé dans un Gouvernement en France.

Il est élu Sénateur de la Martinique en 1920 à 1941.

Henri Lémery est nommé par Gaston Doumergue au Gouvernement du 15 octobre au 7 novembre 1934 au poste de Gardes des Sceaux ou Ministre de la Justice. Il démissionne au bout de 3 semaines. Puis, il est nommé dans le Gouvernement du Maréchal Philippe Pétain, Ministre des Colonies du 12 juillet au 6 septembre 1940.

Durant la Deuxième Guerre mondiale, Henri Lémery collabore avec le régime de Vichy du Maréchal Pétain. Ce qui fait de lui l'homme politique martiniquais le plus controversé. En 1943, Pierre Laval expulse Henri Lémery de Vichy. Il est arrêté et emprisonné à la prison de Fresnes pour son soutien au Régime de Vichy. Il est libéré peu de temps après. Il sera acquitté par la Haute Cour de Justice en 1947.

Henri Lémery meurt le 26 avril 1972 à Paris à l'âge de 98 ans.

Récupérée de « http://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_L%C3%A9mery »

Marius Hurard

Publié le 17/08/2007 à 12:00 par feobus
Marius Hurard (né le 14 octobre 1848 à Saint-Pierre en Martinique) était un avocat et homme politique français. Il fut député de la Martinique de 1881 à 1893.


Marius Hurard, membre du Parti républicain est une figure politique marquante de la Martinique à la fin du XIXe siècle. Il fut à la fois député de la première circonscription de 1881 à 1893 et président du Conseil Général en 1880. À partir de 1848, date de l’abolition de l’esclavage, le parti républicain animé par la petite et moyenne bourgeoisie de couleur alliée à quelques républicains blancs, eut donc la prépondérance dans les affaires politiques de la Martinique et plus particulièrement à Saint-Pierre. L’objectif du parti républicain consistait à transformer le statut de la Martinique de colonie en département français. En effet, les Martiniquais devaient jouir des mêmes droits et devoirs que les Français et être soumis aux même lois. À cette époque l’idéologie politique dominante en Martinique est l’assimilation complète et totale à la France. En janvier 1878, Marius Hurard fonde Les Colonies, organe de presse au service des idées républicaines.

Marius Hurard comme la plupart des républicains de l’époque étaient animés de l’idéal d’une société laïque. Leurs adversaires, les conservateurs, les descendants des anciens colons blancs haïssaient la République et rêvaient du rétablissement de l’ancien ordre esclavagiste. La question de l’école laïque fut l'une des principales pommes de discorde entre républicains et conservateurs. Pour les républicains, l’instruction était un levier de promotion sociale et d’émancipation humaine.

Elle devait donc être publique, laïque, accessible à tous et indépendante de toute religion. En revanche, pour les conservateurs de l’aristocratie blanche, l’école devait être l’apanage des couches aisées et être sous la houlette du clergé. Jusqu’alors en Martinique, les écoles étaient tenues par des religieux, les frères Ploërmel pour les garçons et par les sœurs de Saint Joseph pour les filles. Mais Marius Hurard et les républicains, qui étaient majoritaire au Conseil général votèrent des crédits pour que des écoles laïques soient ouverte dans la plupart des communes de l’île et ce avant l'application de la loi Ferry sur l'école laïque, publique et obligatoire. Le 21 juillet 1881, le lycée de Saint-Pierre fut inauguré.

En 1884, un pensionnat colonial de jeunes filles ouvrit ses portes à Saint-Pierre. Face aux réticences du pouvoir central, Marius Hurard va à ses frais en France, recruter des enseignants pour le nouveau lycée de Saint-Pierre. Malgré la résistance des conservateurs et d’une partie de la population, l’école laïque s’imposait sur toute la Martinique. L'ouverture d'écoles laïques en Martinique fut possible grâce à l’opiniâtreté de Marius Hurard et de quelques élus du Conseil Général de l'époque tels que, Ernest Deproge, Clavius Marius, Eugène Agricole et Auguste Waddy.


En 1885, en pleine campagne des législatives, une scission est intervenue au sein du parti républicain entre ses deux grandes figures, le député Ernest Deproge et Marius Hurard. La raison de la rupture portait sur une question importante : fallait-il poursuivre ou non la politique d’assimilation complète de la Martinique à la France ? Ernest Deproge et ses partisans étaient favorables. En revanche, le clan de Marius Hurard était contre. Chaque tendance créa son journal L’Indépendant de Marius Hurard et La Petite France, favorable à Ernest Deproge.

La position d’Hurard suscitait l’intérêt du clan Béké qui voyait là l’occasion rêvée de refaire surface sur le plan politique depuis son éviction en 1848. Marius Hurard, ses partisans et un groupe de Békés républicains créaient un nouveau parti politique, le Parti Républicain Progressiste ou Parti nouveau. Alors que l’idéologie politique dominante à la fin du XIXe siècle est l’assimilation complète, ce nouveau parti va prôner l’autonomie pour défendre les intérêts économiques de l'oligarchie Béké en Martinique. Pour Marius Hurard et ses partisans, l’assimilation complète entraînerait l’application des lois sociales métropolitaines en Martinique. Ce qui entraînerait un surcoût financier pour les usines et les plantations. Ils étaient également hostiles au fait que l’assimilation complète réduirait les pouvoirs du Conseil Général, qu'ils contrôlaient. En conséquence, elle renforcerait la centralisation des pouvoirs et les tutelles ministérielles à Paris.


Pour certains historiens, la conception que Marius Hurard avait de l’autonomie était très différente de celle d’Aimé Césaire lorsqu’il créa en 1958 le Parti progressiste martiniquais. Chez Marius Hurard, l’autonomie était un instrument qui permettait de préserver les intérêts économiques et politiques de la ploutocratie Béké et de la bourgeoisie mulâtre de l’époque et non un moyen permettant l’émancipation du peuple martiniquais. Contrairement à Césaire, l'affirmation de l'identité martiniquaise est quasiment inexistante dans les discours et écrits de Marius Hurard, à l'époque. C’est la grande différence entre l’autonomie revendiquée par Marius Hurard à la fin du XIXe siècle et celle revendiquée par Aimé Césaire.



Marius Hurard parallèlement à son métier d'Avocat était aussi négociant. Versé dans le commerce il devient l'un des négociant les plus aisés de Saint-Pierre. Son origine prolétarienne lui vaut une grande popularité dans sa ville, Saint-Pierre. Mais en 1895, Marius Hurard, à la suite d’une faillite commerciale, fut condamné à de la prison et son recours en grâce fut rejeté. Ses amis lancèrent en vain une pétition pour éviter son emprisonnement. Celui à qui tout semblait réussir, sa carrière politique, ses activités professionnelles connu la déchéance. En 1896, ce fut la déroute électorale pour les hurardistes qui obtinrent seulement 10 sièges sur 36 au Conseil Général. Aux municipales, ils perdaient les deux principales villes de l'île, Saint-Pierre et Fort-de-France.

Après s’être retiré de la vie politique, Marius Hurard meurt le 8 mai 1902 à 54 ans lors de l’éruption de la Montagne Pelée à Saint-Pierre.



Camille Petit

Publié le 17/08/2007 à 12:00 par feobus
Camille Petit (né le 12 avril 1912 au Saint-Esprit en Martinique – mort en 1993) est un homme politique et pionnier du mouvement Gaulliste en Martinique. Il fut député à l'Assemblée nationale de 1967 à 1986.

Camille Petit est titulaire d'un doctorat en médecine et est médecin de profession. Sur le plan politique, il est le pionnier du mouvement Gaulliste en Martinique. En 1958, il participe à la création officielle de la fédération Union pour la nouvelle République (UNR) de la Martinique. Il deviendra le Secrétaire Départemental de la fédération UNR de 1958 à 1965. La fédération UNR de la Martinique va défendre avec acharnement l'assimilation complète de la Martinique à la France et le statut de Département d'outre-mer.

Camille Petit, grand admirateur du Général De Gaulle et assimilationniste convaincu va notamment s'opposé aux autonomistes et indépendantistes, favorarables à une évolution statutaire. Il montra durant toute sa carrière politique son attachement indéfectible à la nation française et aux valeurs républicaines.

Il occupa des fonctions politiques importantes en Martinique et fût notamment maire de Sainte-Marie et député de la 1re circonscription durant 19 ans.

Camille Petit, malade, meurt en 1993 à l'âge 81 ans.

Pierre-Marie Pory-Papy

Publié le 17/08/2007 à 12:00 par feobus
Pierre-Marie Pory-Papy (3 mai 1805 à Saint-Pierre en Martinique - 27 janvier 1874 à Versailles) était un avocat et député de la Martinique de 1848 à 1849 et de 1871 à 1874.

Pierre-Marie Pory-Papy est devenu un personnage important de l'histoire de la Martinique, notamment pour son rôle en faveur des esclaves lors de l'insurrection anti-esclavagiste de mai 1848 à Saint-Pierre. Voici le résumé des faits :

"Le 22 Mai 1848 : L'esclave Romain, de l'habitation Duchamp, est incarcéré sur la plainte du maire de Saint-Pierre pour avoir joué du tambour pendant que les esclaves préparaient le manioc. Les esclaves de son atelier trouvant la punition excessive prennent sa défense et aidés de Pierrotins réclament sa libération devant la prison. La force est envoyée pour disperser la foule. Pierre-Marie Pory-Papy, maire adjoint mulâtre de Saint-Pierre et chargé de la police, fait relâcher le prisonnier Romain. Le maire de Saint-Pierre, Pierre Hervé favorable à l'esclavage, le convoque devant le conseil municipal pour lui demandé des explications et lui exprimé sa désaprobation. Cette convocation de Pory-Papy provoque le rassemblement autour de la mairie des esclaves qui tiennent à protéger Pory-Papy. Le conseil municipal inquiet devant les évènements, vote en faveur de Pory-Papy et de l'abolition de l'esclavage. Pendant une journée et une nuit, les esclaves investissent complètement la ville de Saint-Pierre. La révolte gagne le sud de l'île et la côte atlantique. Le 23 mai 1848, confronté au soulèvement général des esclaves, le Gouverneur Claude Rostoland décrète l'abolition de l'esclavage en Martinique".

Le 24 mai 1848, au lendemain de l'application du décret de l'abolition de l'esclavage, Pierre-Marie Pory-Papy est élu par le conseil municipal, maire de Saint-Pierre, fonction qu'il occupera jusqu'au 30 août 1848. Puis, Pierre-Marie Pory-Papy est élu à deux reprises député de la Martinique du 9 août 1848 au 26 mai 1849 et du 8 février 1871 au 27 janvier 1874.

Pierre-Marie Pory-Papy meurt le 27 janvier 1874 à Versailles.

Ernest Deproge

Publié le 17/08/2007 à 12:00 par feobus
Louis-Joseph Ernest Deproge (Né le 15 août 1850 à Fort-de-France en Martinique) était Avocat et Député de la Martinique de 1882 à 1898.


Après sa scolarité primaire effectuée à Fort de France, Ernest Deproge part tout jeune pour la France et s'inscrit au lycée de Rouen où il subit avec succès son baccalauréat. Puis il entame des études de droit à la faculté de Paris. La guerre de 1870 le contraint à abandonner ses études momentanément pour prendre part aux combats. La guerre terminée, il reprend ses études universitaires et obtient sa Licence en droit. Son diplôme en poche, Ernest Deproge regagne la Martinique et exerce son métier d'avocat. Dès ses débuts, il s'impose comme un maître incontesté de la parole et assoit sa popularité dans le chef-lieu et dans le sud de la Martinique.

Tout naturellement, il s'intéresse à la politique et débute sa carrière en 1882 en se faisant élir député de la Martinique. Il siège à la Chambre des Députés dans les rangs de l'extrême gauche dont le chef de file est Georges Clémenceau. À partir de 1882, Ernest Deproge est avec Marius Hurard les deux chefs de file du parti républicain en Martinique. Ils font partie de la classe des mulâtres qui représente la bourgeoisie intellectuelle de la colonie. C'est la république à partir de 1870 qui leur a octoyé de nouveaux droits dont le suffrage universelle, la liberté de la presse, l'école laïque, publique et obligatoire. Désormais, il y a une identification de ces hommes à la république. Ils se fixent un but : prouver leur capacité à gérer, à être des citoyens comme les autres qui connaissent les mêmes droits et les mêmes devoirs que les citoyens de la la France. C'est une assilmilation totale à la France qu'Ernest Deproge et Marius Hurard revendiquent désormais. Ils s'opposeront notamment aux Békés ou blancs créoles qui sont eux partisans de l'autonomie par rapport à la France.

En 1885, des dissenssions profondes et des rivalités en deprogistes et hurardistes provoquent l'éclatement du parti républicain. Le camp d'Ernest Deproge accuse Marius Hurard de collusion avec le clan Béké. Désormais, les deux grandes figures de la vie politique de la Martinique de la fin du 19 siècle vont chacun créé leur propre parti politique. Ernest Deproge fonde le Parti Radical Socialiste Martiniquais ou Union Républicaine et Marius Hurard crée le Parti Républicain Progressiste et opère un rapprochement avec les autonomistes békés.

Ernest Deproge contrairement à Marius Hurard restera un farouche défenseur de l'assimilation totale à la France. Il crée un journal la "Petite France" pour diffuser ses idées assimilationnistes. En 1898, Ernest Deproge se présente aux législatives et est battu par Osman Duquesnay.

À 48 ans, Ernest Deproge quitte définitivement la vie politique et la Martinique. Il devient directeur de la Banque de la Réunion puis de différentes perceptions de France. Mais une cruelle maladie l'afflige et une paralysie le condamne à une quasi immobilité. Il meurt le 15 décembre 1921 à Sanvic (Seine-Maritime) à l'âge 71 de ans.

En hommage à Ernest Deproge, une rue du centre-ville de Fort de France porte le nom de cette grande figure politique martiniquaise.

Cyrille Bissette

Publié le 17/08/2007 à 12:00 par feobus
Cyrille Charles Auguste Bissette était un homme politique Martiniquais, né à Fort-Royal (actuellement Fort-de-France) le 9 juillet 1795 et mort le 22 janvier 1858 à Paris des suites d'une longue maladie. Il fut un des grands partisans de l'abolition de l'esclavage en France.

Son père Charles Borromée Bissette, un mulâtre originaire du Marin épouse en 1794 une métisse libre Elizabeth Bellaine, fille du béké Joseph Tasher de la Pagerie, de cette union naîtra six enfants dont Cyrille l'aîné deviendra le plus célèbre. Il est le demi-frère de Joséphine de Beauharnais.

En 1816, Cyrille Bissette épouse Augustine Séverin, ils auront ensemble quatre enfants. Bissette devient à partir de 1818 négociant à Fort de France.

Bissette participe à la répression de la révolte d'esclaves du Carbet en 1822. A ce moment là, il n'est pas encore engagé dans la lutte contre l'esclavage.

Au début du mois de décembre 1823, circule à la Martinique un opuscule intitulé "De la situation des gens de couleur libres aux Antilles Françaises" écrit par Cyrille Bissette. L'objet de cette brochure est de dénoncer le système esclavagiste en exposant en détail les injustices dont sont victimes les esclaves.

Un certain Morando va dénoncer Bissette auprès du Procureur du Roi. La maison de Bissette est alors perquisitionnée et l'on découvre plusieurs pétitions à son domicile. Il est immédiatement arrêté et écroué à Fort-Royal. Lors du procès en première instance Bissette est condamné au bannissement à perpétuité du territoire français, il fait appel et la Cour Royal le condamne à la marque et aux galères perpétuelles. Le jugement est appliqué partiellement et il est marqué au fer rouge et exposé. Départ de Bissette pour Brest puis, Bissette se pourvoi en cassation et la Cour de Cassation casse l'arrêt de la Cour Royale de la Martinique et renvoi Bissette et ses complices devant la Cour Royale de la Guadeloupe. Cette même Cour le condamne à dix ans de bannissement des colonies françaises.


Bissette fonde en 1834 la "Revue des colonies" dont il devient le directeur. Le but de la "Revue des colonies" est de combattre l'esclavage, les esclavagistes et de proposer l'abolition pure et simple de l'esclavage comme solution pour libérer les esclaves des chaînes.

En 1844, il s'oppose au projet de loi Mackau sur l'esclavage, car il tend à violer la loi du 24 avril 1833 sur le régime législatif des colonies.


Quelques mois après l'application du décret d'abolition de l'esclavage de 1848, Bissette se présente aux élections Législatives d'août. Il est élu député avec 19 850 voix[1]. Mais l'Assemblée Nationale Constituante invalide son élection pour cause d'incapacité personnelle, parce qu'il avait été condamné pour faillite. Pourtant, le 11 avril 1849, le Tribunal de Commerce de la Seine déclare nul et non avenu le jugement qui l'avait condamné en faillite, ce qui lui permet de briguer un nouveau mandat de député lors des prochaines Législatives.

À partir de 1849, Bissette cesse de pourfendre la ploutocratie béké. Il se prononce pour la fusion des différentes composantes ethniques des Antilles, dont il est lui-même issu, et pour l'oubli du passé. Au mois de mars 1849, revenant de l'exil et de la guerre, il est accueilli à Saint-Pierre par une foule en liesse. Dans son discours il déclare : « Consentons donc à un mutuel oubli du passé et jetons loin de nous nos funestes divisions, nos préjugés d'un temps qui n'est plus, les vieilles récriminations qui ne font jamais l'affaire des partis et bien moins encore le bonheur du pays qui doit dominer et faire taire toutes les passions ».

Une alliance est conclue entre Bissette et le béké Auguste Pécoul en vue des élections législatives de Juin. Les résultats consacrent l'écrasante victoire du tandem Bissette-Pécoul, ils obtiennent respectivement 16 327 voix et 13 482 voix et Victor Schoelcher est battu et ne recueille que 3 617 voix.

L'association de Bissette et de Pécoul provoque la colère et l'indignation des gens de couleur libres qui accusent Bissette d'avoir trahi sa race et de s'être vendu aux blancs. Depuis, Bissette sera l'objet d'une campagne de haine et de dénigrement de la part de la bourgeoisie mulâtre et plus particulièrement des partisans de Victor Schoelcher. Par contre, si l'on en croit sa popularité, le peuple continuait à lui faire confiance.



La rivalité entre Bissette et Schoelcher commence véritablement après la parution du livre de Schoelcher[2] intitulé "Des Colonies Françaises" que Bissette avait critiqué sévèrement.

Jusqu'au coup d'État de décembre 1851, la lutte entre les partisans de Bissette et de Schoelcher est une constante du débat politique martiniquais. Après l'élection à la députation de Bissette les deux hommes s'affrontèrent encore plus violemment, soutenus chacun par des organes de presse. Bissette se servira du "Courrier de la Martinique" et Schoelcher et ses alliés du journal "La Liberté" dans lesquelles ils vont échanger réciproquement insultes et injures.

À partir de 1852, Bissette entame sa retraite sur le plan politique et l'antagonisme entre le Bissetisme et le Schoelchérisme s'estompe. De cette rivalité entre les deux abolitionnistes, c'est Victor Schoelcher en fin de compte qui sortira gagnant, car c'est à lui qu'on attribua l'abolition de l'esclavage dans les colonies françaises des Antilles.

Cyrille Bissette est le Martiniquais qui a le plus combattu l'esclavage et ses effets néfastes au XIXe siècle. Au lieu de la vengeance, il prôna la réconciliation entre les races.

Victime de l'édification du schoelchérisme de la part d'une bourgeoisie intellectuelle assimilationniste, Cyrille Bissette a été banni de l'histoire en raison de son alliance avec le béké Auguste Pécoul, que les mulâtres à l'époque qualifiaient de trahison.

En 2007 encore aucune rue, aucune place en Martinique ne rend hommage à Cyrille Bissette. Son histoire est traitée dans très peu d'ouvrage et beaucoup de Martiniquais ignorent son existence.




Auguste-François Perrinon

Publié le 17/08/2007 à 12:00 par feobus
Auguste-François Perrinon (1812-1861) fut un député abolitionniste français.

Né à Saint-Pierre (Martinique) d'une famille de libres de couleur. Envoyé en France, il devient élève de l'École polytechnique (promotion X1832) et se spécialise dans l'artillerie de Marine.

En 1842, il fait partie de la garnison de la Guadeloupe. Il est anti-esclavagiste et en 1847, dans une brochure intitulée Résultats d'expérience sur le travail des esclaves (île Saint-Martin Antilles), il s'emploie à démontrer que le travail libre est possible. Un an plus tard, il fait partie de la Commission d'abolition d'esclavage puis est envoyé comme commissaire d'abolition, puis commissaire général à la Martinique (juin-novembre 1848).

Avec Schoelcher, dont il est proche, il est député à l'Assemblée nationale (1849-1850).

Après le coup d'état du 2 décembre 1851, il regagne les Antilles et va vivre à Saint-Martin où il exploite des salines. Il refuse de prêter serment à Napoléon III (lettre du 18 avril 1853), ce qui lui vaut d'être rayé des cadres de l'armée.

Il meurt à Saint-Martin, le 2 janvier 1861.

Montesquieu. De l'esclavage des nègres.

Publié le 17/08/2007 à 12:00 par feobus
texte envoyé par Isabelle Rembotte

Si j'avais à soutenir le droit que nous avons eu de rendre les nègres esclaves, voici ce que je dirais : Les peuples d'Europe ayant exterminé ceux de l'Amérique, ils ont dû mettre en esclavage ceux de l'Afrique pour s'en servir à défricher tant de terres. Le sucre serait trop cher, si l'on ne faisait travailler la plante qui le produit par des esclaves. Ceux dont il s'agit sont noirs depuis les pieds jusqu'à la tête et ils ont le nez si écrasé qu'il est presque impossible de les plaindre.

On ne peut se mettre dans l'esprit que Dieu, qui est un être très sage, ait mis une âme, surtout une âme bonne, dans un corps tout noir. Il est si naturel de penser que c'est la couleur qui constitue l'essence de l'humanité, que les peuples d'Asie qui font des eunuques, privent toujours les noirs du rapport qu'ils ont avec nous d'une façon plus marquée. On peut juger de la couleur de la peau par celle des cheveux, qui, chez les Egyptiens, les meilleurs philosophes du monde, étaient d'une si grande conséquence qu'ils faisaient mourir tous les hommes roux qui leur tombaient entre les mains. Une preuve que les nègres n'ont pas le sens commun, c'est qu'ils font plus de cas d'un collier de verre que de l'or, qui, chez des nations policées, est d'une si grande conséquence.


Il est impossible que nous supposions que ces gens-là soient des hommes ; parce que, si nous les supposions des hommes, on commencerait à croire que nous ne sommes pas nous-mêmes chrétiens. De petits esprits exagèrent trop l'injustice que l'on fait aux Africains. Car, si elle était telle qu'ils le disent, ne serait-il pas venu dans la tête des princes d'Europe, qui font entre eux tant de conventions inutiles, d'en faire une générale en faveur de la miséricorde et de la pitié ? Montesquieu, De l'Esprit des Lois, Livre XV, Chapitre 5

L'esclavage et l'intolérance au Danemark

Publié le 17/08/2007 à 12:00 par feobus
Le Danemark était le premier pays, qui a libéré les esclaves. C'était en 1802. C'était Peter von Scholten qui
a libéré les esclaves des anciennes Antilles où il était le gouverneur. Le Danemark possédait à ce temps-là
3 îles: St. Croix, St. Thomas et St. John. Aujourd’hui ces îles sont américaines, parce que le Danemark les avait
vendues.
Mais le Danemark contrôlait aussi la route de Triangle. Cette route commencait à Copenhague et continuait
jusqu à la Côte-d' Ivoire où les Danois se procuraient des esclaves. La route terminait aux Antilles où les
esclaves étaient vendus et où ils travaillaient dans les plantations de betterave sucrière. Au total,
le Danemark avait vendu environ 50.000 esclaves à cette époque.
Mais aujourd'hui il n'y a pas d'esclavages au Danemark.
Christian, Niels, Kasper, Christoffer

Notre avis sur le travail d'enfants au Danemark. Au Danemark les enfants ne travaillent pas pour survivre,
mais pour gagner de l'argent et acheter des vêtements modernes, des disques à la mode, pour aller au cinéma etc.
Les enfants au Danemark ne sont pas du tout obligés de travailler. Chez nous les parents encouragent souvent
les enfants à travailler après l'école. Mais en France c'est le contraire. Les parents donnent de l'argent de poche
à leurs enfants, parce qu'ils trouvent que le travail enfantin n'est pas acceptable ni souhaitable dans la societé
aujourd'hui. Ils trouvent que le travail peut être un obstacle du futur de leurs enfants. Quand les enfants
travaillent, ils ne leur reste pas de temps pour faire les devoirs.
Kristine, Nina et Nicole

Nous pensons que c'est tres triste que, on vole la jeunesse des esclaves.
Leur jeunesse est détruite, parce qu' il faut travailler tout le temps.
Heuresement ca n'arrive pas aux jeunes Danois.
Maria et Iben

L'esclavage aujourd'hui.
Au Danemark il n'y a pas d'esclavage. Au Danemark c'est interdit, mais il y a beaucoup d'étrangers
et beaucoup de Danois qui ne s' aiment pas bien. Mais ce n'est pas toujours l' inconduite. Beaucoup d'étrangers sont très gentils et tolérants
comme les Danois et ils travaillent dur.
Maria et Iben


A notre avis l´esclavage n'existe pas au Danemark.
Maís quand même il y a des gens (surtout des gens âgés) qui sont insatisfaits quand les étrangers
ont de bons boulots.
C´est du racisme et c´est faux et c´est du babillage, parce que les mêmes gens maugréent et manifestent
de la mauvaise humeur quand les immigrés n´ont pas de travail, ils pensent alors que ceux-ci abusent
de la société danoise.
Rosanna, Sanne, Ulrika et Lars.


Au Danemark il n'y a pas d'éclaves, mais il y a des personnes qui ne gagnent
presque pas d'argent. Par exemple il y a des prostituées à qui on donne un peu
d'argent pour leur travail. La plupart des prostituées viennent d'Asie et d'Europe de l'Est.
C'est tragique, mais on commence à travailler pour arrêter tout ca.
Christian & Niels


Beaucoup de filles de l'Est de l' Europe vont au Danemark pour chercher le bonheur, parce qu'elles sont très
pauvres. Ce n'est pas légal d'immigrer au Danemark des pays qui n'appartiennent pas à l 'UE.
Mais il y a des proxénètes qui tirent des bénéfices en vendant les filles étrangères aux maisons publiques
danoises.
Bien sûr, les filles ne savent pas d'avance qu'elles devront travailler comme ca. C'est un grand problème
parce que les filles sont forcées à se prostituer contre leur gré. Mais si elles ne veulent pas faire le travail,
elles seront renvoyées à leur pauvre pays ou tuées. C'est terrible.
Kjartan et Mathias

Au Danemark c'est très difficile de trouver un travail si l'on est étranger, surtout si on ne parle pas bien
la langue - c'est l'intolérence et la discrimination raciale. Mais il n'y a pas de discrimination religieuse.
En général, les Danoís sont tolérants, nous voulons bien intégrer les travailleurs immigrés dans notre pays.
Casper et Simon


Au Danemark il y a des communes qui ne veulent pas accepter ni accueillir des fugitifs et des immigrants.
Il s'agit des communes riches, les communes qui ont les moyens économiques. C'est évidemment l'intolérence.
La tolérance : Au Danemark il y a aussi des communes qui veulent accepter et accueillir ces gens.
C'est les communes qui ne sont pas snobs.

L'intolérance : il y a des Danois qui n'aiment pas les immigrants. Ils ne veulent pas parler avec ces gens.
La tolérance : il y a des Danois qui trouvent que les immigrants sont gentils. Beaucoup de Danois trouvent
que c'est une bonne chance de faire la connaisance d'une nouvelle société.
MORTEN ET RASMUS

L'intolérance
Un pére interdit à son garcon de sortir avec ses amis
parce que le pére croit que les amis sont criminels.
La tolérance
Un père permet à son garcon de sortir avec ses amis,
parce qu'il a parlé avec ces amis et il trouve qu'ils
sont très gentils.

L'intolérance
Beaucoup de jeunes n'achètent pas la nourriture au
lycée, parce que le vendeur est étranger.
La tolérance
Beaucoup de jeunes achètent la nourriture
parce qu'ils trouvent que le vendeur est très
drôle et doux.
Kirsten et Malene

Travail de la classe de seconde1 ab frF: Notre pays, notre ville , notre lycée

Notre pays Notre pays, le Danemark, est un pays nordique, il est situé en Scandinavie. La capitale du pays Copenhague est une grande ville ( 1 million d'habitants ). Le pays n'est pas très grand grand; il n'y a que 5,5 millions d'habitants. Au nord de Copenhague il y a deux villes de mer pittoresques: Skodsborg et Vedbaek; c'est dans ces deux villes que nous habitons. Nous allons dans le même lycée, Gammel Hellerup dans une classe de seconde 1ab. Chez nous c'est la monarchie qui gouverne l'Etat; or, nous avons une reine dont le nom est Magrethe II. Son mari qui s'appelle Henrik, il est d'origine Francais. Ils ont deux garcons: l'aîné, le dauphin Frederik et le cadet, prince Joachim. Celui-ci est marié avec une princesse Alexandra qui habitait avant à Hong Kong parce qu'elle est d'origine chinoise. Les deux ont un tout petit prince qui s'appelle Nikolai. Notre pays est entouré d'eau, c'est un pays des îles et des presqu'îles. En été l' activité favorite des Danois, c'est la natation. Mais le climat change tout le temps ici et on ne nage pas toujours. En hiver surtout il fait très froid, il neige ou il pleut. Nous avons beaucoup de traditions au Danemark, p.ex. nous célébrons la fête de Noël au mois de décembre avec la famille la plus proche. Nous donnons et recevons les cadeaux, nous chantons et dansons, ce soir de Noël est magique . C'est notre tradition favorite! Camilla, Anne et Ida

Notre ville. Il existe une très bonne atmosphère autour et dans notre ville. Au centre de la ville il y a une rue qui s'apppelle Stroeget, elle ressemble en effet aux Champs Elysés à Paris. Mais ici il n'y a pas de voitures et c'est plus agréable. Copenhague a vraiment beaucoup d'endroits merveilleux, des parcs, des lacs, des canaux. Le port le plus connu au centre de la ville s'appelle Nyhavn (le nouveau port en danois). On voit ici toutes sortes de cafés, de restaurants et de bars. Beaucoup de jeunes boivent un verre de bierre ou deux ici en été, assis sur le trottoir, observant les gens qui passent, écoutant la musique; on trouve ici une atmosphère extraordinaire. Copenhague est une très bonne ville pour nous, les jeunes, car il y a pas mal d'endroits où l'on peut s'amuser ou s'instrure. Anna et Sara Christiania, un quartier à Copenhague Le haschich est illégal, mais les policiers n'interpellent jamais un consommateur pour la possession de faible quantité (environ 2 grammes). Encore plus fort, dans le quartier libre de Christiania, la Police ne rentre pas, et l'on trouve dans sa rue principale une bonne vingtaine de stands exposant savonnettes de shit et grands bocaux de marijuana de provenances diverses, ainsi que de superbes joints roulés main à acheter à l'unité. Le shopping du jour pouvant ensuite être goûté dans un des trois bars du quartier, grandes cabanes de bois chaleureuses où se cotoient dans le bruit, la fumée opaque et les jeux de société, les Christianiens, autres Danois, Groenlandais, résidents et touristes étrangers. Bien sûr, pas tous les Danois viennent à Chrstiania pour fumer. Le pauysage est magnifique et les habitants sont très gentils. Les maisons sont vraiment belles parce qu’on les a peintes en couleurs différentes, on les a parées avec les ornements en bois, bref, l’achitecture de ce quartier est adorable. David Cecilia Sasja Notre lycée Gammel Hellerup Nous allons au lycée qui s'appelle Gammel Hellerup (GHG). Il y a environ 700 élèves à GHG. Tout près du lycée il y a un port Hellerup Havn. C'est un très beau port avec beaucoup de bateaux à voiles. En été le ciel est bleu et la mer est calme. S'il fait chaud, on peut acheter ici d'énormes glaces, il y a un "glacieur" célèbre, connu partout au Danemark pour la qualité de ses produits. Il y a évidemment des restaurants et des bars où l'on peut boire de la bière, du café etc. Naturellement, il y a aussi des magasins de vêtement très à la mode et très chers. Les élèves de Gammel Hellerup vont aouvent au port pour s'amuser et barvarder après les cours et c'est vraiment formidable. Emil et Anna

Nous pensons que notre lycée est un bon établissement. Il y a 8 classes de seconde chez nous. Notre classe a beaucoup de langues, nous avons 15 heures d'enseignement de langue par semaine. On peut choisir entre pas mal de langues, p.ex. le francais, italien, allemand, espagnol et latin. C'est Vilhelm Bornebusch qui a fondé cette école en 1896, et la prèmiere classe a passé le bac en 1902. Nicoline et Nina, 1.b Notre classe Dans notre classe nous sommes 28 élèves, 23 filles et cinq garcons. Nous avons beaucoup de matières différents: des langues, la musique, l'éducation physique, les maths etc. C'est plus dur ici qu'a l'école primaire, et le soir il y a beacoup de devoirs à faire à la maison. Pendant les 3 ans que nous passons ici, nous organisons deux voyages éducatifs: l' un en seconde et l'un en terminale. Pernille et Mette.